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Frontières des mots

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R    é    v    e    i    l   . . . 




1 ...De Paris


L'œil danse à ravir, pour son semblable
L'idée du parfum
De ce qui n'est plus : vit au même moment
Sans se permettre de dimension.
Ce matin, son choix de jadis, là, pièce écrite
Très soigneusement. Au quai
Viennent donc les buts à se connaître
Dans de telles synthèses
De couleurs furieuses et pourtant douces
Et petites célébrités
Du thème appris par cœur, de bon gré. Volettent
Les allées de cette étroite place
Vers un lieu que l'on ne peut pas encore peindre.


2 ...En banlieue

Sereines caresses
Que tu me livres de ton royaume, comme cela
L'été se laisse porter
Caule à l'instar d'une fiamme
Dans tes doigts. Réservées, les natures
Orgueilleusement s'embarquent sur
Ce savoir qui retournera
Dans les larrnes toutes petites qui me rappellent
Bientôt les jalons en forêt.  


3 ...De France

Cette belle collection de nénuphars hors-champ
Les carrefours connus
D'un théorème ambitieux, à la fin c'est cela
L'énorme recoin d'ici-près,
Fougue panni les conifères
Venus d'une bouche aprivoisée pour
Un moment, qui manifeste cette saison très douée .
Sans notes raides, de près, et des mots inoubliables
Entre les pages
Fortes de l'inconnu.


4 ...Dans la maison

Juste paur l'admettre et satisfaire cette encre
Qui vient d'attendre. Il y a en elle ce qui se dit
Ces risques du destin apparemment et, certes,
En traversant
Le gouffre de la pensée, cette source
Qui ne se réduit pas  
Et dépasse fort bien cles mots et des adieux.